Editorial

Éditorial par Claire Margogne, déléguée paroissiale

Quand j’écris ces mots, les illuminations de la ville sont encore en place, les crèches de nos églises attendent encore des visiteurs . Et déjà, le temps du Carême s’annonce ! Difficile de penser ces 40 jours rappelant le temps de Jésus dans le désert mais aussi les 40 ans du peuple juif dans le désert avec Moïse : et nous, quel désert allons-nous traverser ?

Éditorial par Christian Cantegrit, diacre

Cette Espérance chrétienne peut paraître prématurée en ce temps de carême et pourtant c’est bien vers cet « heureux dénouement » que nous conduisent ces quarante jours bien spécifiques, commencés dès le mercredi des cendres.

C’est en référence à ces événements douloureux et merveilleux à la fois que repose toute notre « foi ». Avoir la foi, il est bon de se le rappeler, c’est aussitôt recevoir la « grâce » d’être accompagné, tout au long de notre vie, par la lumière de notre créateur, dans les bons et les mauvais moments. C’est aussi et surtout être convaincus que cette lumière ne s’éteint pas au moment où notre passage sur terre s’arrête mais qu’elle continue de brûler éternellement car à ce moment notre créateur nous accueille pour l’éternité. C’est notre résurrection à nous, à l’image de celle du Christ.

Éditorial par + Denis MOUTEL, Évêque de Saint-Brieuc et Tréguier
Lettre pastorale au peuple de Dieu pour de nouvelles pratiques missionnaires
Chemins d’espérance

Que ce titre de ma lettre pastorale vous porte les vœux de mon cœur, pour une bonne et sainte année de paix dans l’espérance.

Dans les visites pastorales que je vais effectuer dans le Trégor, au cours du mois de janvier, nous allons nous rencontrer pour nous réjouir et nous relancer aussi dans la mission que le Christ confie à tous les baptisés.

Pour notre participation à l’annonce de l’Évangile et au service des autres, la lettre pastorale « Chemins d’espérance », que je viens de vous remettre, est un encouragement et un appel. Je l’ai écrite parce que j’ai vu votre fidélité au Seigneur mais entendu aussi votre attente de renouvellement. C’est l’Esprit Saint qui fait le travail. Il a commencé depuis longtemps. Nous lui demandons de continuer l’œuvre de Dieu dans le monde et dans son Église, même s’il faut pour cela qu’il nous bouscule.

Éditorial par Christian Cantegrit

En route vers Pâques…
Depuis le mercredi des Cendres, nous sommes en route vers Pâques sur le chemin du Carême.
Nous voici donc en route et, comme Jésus, nous avons entendu la voix du Père qui nous a remplis de confiance ! Sur ce chemin, l’Esprit Saint s’est joint à nous pour nous accompagner, tout comme Jésus, c’est lui qui nous pousse au désert où nous allons être confrontés à la tentation, au combat spirituel.…
Trois choses importantes me semblent à souligner à propos du Carême :

Éditorial par Père Albert Wanso , curé de la paroisse de Perros-Guirec
Éditorial du bulletin paroissial de juin 2023

Bientôt l’été ; cette belle période permet à beaucoup de prendre des vacances. C’est aussi une période de brassage de personnes, des habitudes et même de cultures. C’est également en cette période que, dans nombre des paroisses des Côtes d’Armor, le sacrement de la Confirmation est administré. L’évêque ou son délégué donne, au nom de Jésus-Christ, le Saint Esprit avec la plénitude de la grâce, « qui se répand en nous comme un torrent d’amour et de force, afin d’affermir en nous la vie du baptême » (Mgr Louis-Gaston de Ségur, la Confirmation, p. 92).

Éditorial par Père Albert Wanso

Esprit de fraternité

Nous attendons impatiemment ce que dira le gouvernement dans les jours prochains par rapport aux restrictions en cours : plus que dix kilomètres autorisés autour de chez soi, couvre-feu à dix-neuf heures, vacances scolaires nationales, cinémas fermés, restaurants et commerces non essentiels sous clés etc.… L’Église, Elle, après la grande fête de la foi chrétienne, se prépare à recevoir l’Esprit Saint. « Quand arriva le jour de la Pentecôte, au terme des cinquante jours après Pâques, …. Tous furent remplis d’Esprit Saint » écrit Saint Luc (Act. 2, 1). Il nous est donné « un esprit d’audace pour témoigner, un esprit de discernement pour choisir le chemin de la vérité, un esprit de force pour traverser les épreuves.

Éditorial par Père Albert Wanso

L’été, ce temps habituel de loisirs, des grands espaces et de longues routes, ce temps de retrouvailles est questionné cette année. Où aller et comment s’y prendre ? Doit-on rester dans l’Hexagone ou peut-on oser voir large ?

L’été est bien un temps de rencontre et de joie. Il est une chance donnée pour prendre du temps personnel, s’arrêter et non se faire arrêter (allusion au confinement). Pour beaucoup, l’été est favorable pour prier, visiter les sanctuaires, les chapelles et églises, surtout dans une belle région comme la nôtre. La Bretagne, rappelons-le fièrement, regorge de mille sites touristiques.

Elle « possède un patrimoine culturel et spirituel très riche » (1). Et que dire de la Côte de granit rose ?

« Réjouis-toi comblée de grâce, le Seigneur est avec toi » : ce sont les paroles de l’ange Gabriel à la Vierge Marie le jour de l’Annonciation. Comblée ou pleine de grâce est une expression qui résume bien ce que signifie l’Immaculée Conception.
Pour l’Église, Dieu a voulu que la femme qu’il avait choisie pour être la mère de son Fils, soit parfaitement pure. Elle a donc été conçue sans la marque du péché originel. Et, comme catholiques, nous croyons fermement que Marie, indissociable de l’enfant qu’elle a portée, est sans péché et n’a jamais été séparée de Dieu et de son Fils.
Jésus qui est vrai Dieu ne pouvait pas entrer dans un corps souillé ou pécheur, mais pure et sainte. Le catéchisme de l’Église catholique le dit clairement en ces termes : « Tout au long des siècles passés, l’Église a pris de plus en plus conscience que Marie, à qui une grâce a été faite de la part du Seigneur, a été rachetée dès le moment de sa conception ».

Éditorial par Claire Margogne, EAP

Nous arrivons à Pâques, la joie de Pâques.

Joie ! Quel mot difficile à utiliser dans notre vie bousculée par la maladie, la guerre en Ukraine, l’exil de nos frères et sœurs, la souffrance, les épreuves diverses que traverse chacun de nous.

Rappelons-nous le récit de la Passion : la violence, la trahison, la méchanceté, les moqueries, la jalousie, l’injustice jalonnent ce récit. Dans toute cette noirceur, nous étonne la luminosité du Christ : sa sérénité, ses paroles paisibles, son humilité révèlent sa confiance en son Père. Malgré ses doutes, il s’abandonne à son Père. Suivent la souffrance et la mort et les ténèbres qui s’abattent sur la ville.

Éditorial par le Christian Cantegrit, Diacre permanent

Chaque année, dès la fin novembre, nos villes et nos villages prennent un air de fête. Les illuminations éclairent les rues, les vitrines sont décorées. Cela fait du bien à chacun, les grands pensent aux petits, les riches aux pauvres, les familles aux isolés. Accueillons Noël et sa joie !

Cependant la beauté de Noël vient d’ailleurs. Dans la tradition chrétienne, la fête de Noël célèbre chaque année la Nativité, c’est à dire la naissance de Jésus de Nazareth. Un 25 décembre, un enfant est né là-bas au Moyen Orient. Noël est cet anniversaire, ouvert à tous, célébré en famille le plus souvent, un moment de lumière dans la nuit de l’hiver.

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